Respectivement, Professeur de Sciences économiques, chercheurau LIRHE, Université de Toulouse 1 (pl. Anatole-France,31042 Toulouse cedex), Maître de conférences de Scienceséconomiques, chercheur au ceresur, Université deLa Réunion (15, av. René-Cassin, bp 7151 - Saint-DenisMess. cedex 9) et Maître de conférences de Scienceséconomiques, chercheur au LIO, Université de HauteAlsace (32, r.du Grillenbreit - BP 568 - 68008 Colmar)

 

 

 

 

 

 

 

 

 

 

 

 

 

 

 

 

 


 
Respectivement, Professeur de Sciences Économiques àl'Université Louis Pasteur, chercheur au BETA (UMR-CNRS7522), Pôle européen de gestion et d'économie(61, av. de la Forêt-Noire, 67085 Strasbourg) et Maîtrede conférences de Sciences Économiques àl'Université Robert Schuman, chercheur au TIPEE-GRICE,PEGE (61, av. de la Forêt-Noire, 67085 Strasbourg).

 

 

 

 

 

 

 

 

 

 

 

 

 

 

 

 

 


 
Chercheur au CREREG UMR CNRS C-6585, IGR Université deRennes 1 (11, r. Jean-Macé 35000 Rennes).
philippe.robert@univ-rennes1.fr

 

 

 

 

 

 

 

 

 

 

 

 

 

 

 

 

 


 
 Respectivement Maître de conférences en Scienceséconomiques au C3ED, UMR IRD-UVSQ n°063, Universitéde Versailles (bât. Vauban, 47 bd Vauban, 78047 Guyancourtcedex),
Geraldine.Froger@c3ed.uvsq.fr,
et Maître de conférences en Sciences économiquesà l'Université de Corse Pascal Paoli, ie-idim-cappedem(bp 52, av. Jean-Nicoli, 20250 Corte),
pascal.oberti@wanadoo.fr

 

 

 

 

 

 

 

 

 

 

 

 

 

 

 

 

 


 
Maître de conférences de Sciences économiquesà l'Université de Lille 3 (BP 149, 59653 Villeneuved'Ascq cedex), chercheur à FORUM, Université deParis 10.
maillefert@univ-lille3.fr

 

 

 

 

 

 

 

 

 

 

 

 

 

 

 

 

 


 
Respectivement, Directeur de recherche en Économie àl'INRA (UMR SAD-APT, INRA-PG, 16 r. Claude-Bernard, 75231 Paris,cedex 05) et Docteur en Sciences économiques, Ingénieurde recherche à l'ENGREF (Département ATDL, 24 av.des Landais, 63170 Aubière).

 

 

 

 

 

 

 

 

 

 

 

 

 

 

 

 

 


 
Respectivement Ingénieur de recherches, École Nationaledu Génie Rural et des Eaux et Forêts (24, av. desLandais, 63170 Aubière)
et Ingénieur-chercheur, CEMAGREF (24, av. des Landais,63172 Aubière).

 

 

 

 

 

 

 

 

 

 

 

 

 

 

 

 

 


 
Respectivement Maître de conférences de Scienceséconomiques, chercheur au Laboratoire Intelligence desOrganisations, Université de Haute Alsace, DépartementUniversitaire de Colmar (32, r. du Grillenbreit, 68 008 Colmar),
grimal@uha.fr,
Professeur de Sciences économiques, chercheur au LaboratoireDynamiques Rurales, UMR/ ENFA-UTM-ENSAT, École Nationalede Formation Agronomique (BP 87, 31326 Castanet-Tolosan),
kepha@educagri.fr,
Doctorant en Sciences économiques, Laboratoire DynamiquesRurales, UMR/ ENFA-UTM-ENSAT (adresse postale : FédérationRégionale des civam Midi-Pyrénées 122, all.de Barcelone, 31000 Toulouse),
frcivammp@aol.com.

 

 

 

 

 

 

 

 

 

 

 

 

 

 

 


 
Respectivement Professeurs d'Économie au Départementd'Économie Appliquée, Universitat Autonoma de Barcelona(08193 Bellaterra, Espagne)
lourdes.viladomiu@uab.es,
jordi.rosell@uab.es,
et chercheur à la Fundació Empresa i Ciència,Universitat Autonoma de Barcelona,
gemma.frances@uab.es

 

 

 

 

 

 

 

 

 

 

 

 

 

 

 

 

 


 
Respectivement Directeur de recherche, INRA-ESR-ETIC, Toulouse,Ingénieur de recherche, INRA-ESR-ETIC et LIRHE-CNRS, Toulouse,et Directeur de recherche, LIRHE-CNRS, et INRA-ESR-ETIC, Toulouse

 

 

 

 

 

 

 

 

 

 

 

 

 

 

 

 

 


 
ATER de Sciences économiques, Institut de l'Environnement,IDIM-CAPPEDDEM, Université de Corse (av. Jean-Nicoli, BP52, 20250 Corte).

 

 

 

 

 

 

 

 

 

 

 

 

 

 

 

 

 


 
Respectivement épidémiologiste (École nationalede la santé publique, Rennes) et Professeur de Scienceséconomiques (CREREG-IREIMAR-FR7-cnrs, Universitéde Rennes I).

 

 

 

 

 

 

 

 

 

 

 

 

 

 

 

 

 

 

 

 

 

 

 

 

 

 

 

 

 

 

 

 

 

 

 

 

 

 

 

 

 

 

 

 

 

 

 

 

 

 

 

Les définitionsdu développement durable sont très nombreuses. Dès1989, J. Pezzey recensait trente sept définitions présentesdans la littérature. D'après les travaux de F. Hatem,ces définitions peuvent se répartir selon qu'ellesadoptent une vision écocentrée du développementou une vision anthropocentrée. Dans le premier cas, lapréservation de l'environnement est réaliséepour lui-même (il s'agit de protéger tous les êtrevivants), alors que dans le second cas, elle est justifiéepar l'utilité que l'environnement procure à l'homme.Mais parmi les partisans de cette deuxième vision selonlaquelle le développement durable est celui qui permetd'assurer le maintien ou l'augmentation dans le temps du «bien être humain », les désaccords sont forts.La durabilité peut être très faible, faibleou forte (Faucheux, Noël, 1995). Quoi qu'il en soit, cetteopposition entre l'environnementalisme anthropocentrique et humanisteet le biocentrisme de la Deep Ecology relève d'un débatqui a pu être qualifié d'assez stérile (Bourg,2001)

 

 

 

 

 

 

 

 

 

 

 

 

 

 
Pour certains auteurs (Latouche,1994), l'imprécision de la notion de développementdurable en fait un « concept alibi » permettant d'aménagerà la marge les modes de développement actuels enintégrant quelques paramètres environnementaux.

 

 

 

 

 

 

 

 

 

 

 

 

 

 

 

 
Le Groupe d'experts intergouvernementalsur l'évolution du climat (ipcc, 2001) a publiéen 2001 son troisième rapport d'évaluation. Selonce rapport, le réchauffement serait plus important queprévu, avec une augmentation de la température moyenneglobale de 1,4°C à 5,8°C d'ici la fin du siècle.Les auteurs affirment que la majeure partie du réchauffementclimatique des cinquante dernières années est dueà la combustion des énergies fossiles. Pour éviterque le réchauffement de la planète ne produise seseffets les plus extrêmes, on estime que les émissionsde dioxyde de carbone devront être réduites de moitiéd'ici 2050.

 

 

 

 

 

 

 

 

 

 

 

 

 

 

 

 
L'Eurocongrès 2000 des espacesoccitan et catalan, suite de manifestations destinées àrappeler et promouvoir une histoire partagée millénaireà cheval sur deux États-nations, leur a fait unelarge place. C'est ainsi qu'il a organisé le colloque éponymedu présent numéro de Sciences de la Sociétéles 25 et 26 octobre 2002 à l'Université des Sciencessociales de Toulouse.

 

 

 

 

 

 

 

 

 

 

 

 

 

 

 

 

 
Selon l'article 1 de la loi, « L'eaufait partie du patrimoine commun de la Nation. Sa protection,sa mise en valeur et le développement de la ressource utilisable,dans le respect des équilibres naturels, sont d'intérêtgénéral. L'usage de l'eau appartient à tousdans le cadre des lois et règlements ainsi que des droitsantérieurement établis ».