Maître de conférences de Gestion à l'IUT deTarbes, chercheur au LERASS, Université Paul Sabatier (115,rte de Narbonne 31077 Toulouse cedex 4).
jean.louis.darreon@iut-tarbes.fr

 

 

 

 

 

 

 

 

 

 

 

 

 

 

 

 

 


 
Respectivement, Directeur de recherches en Sociologie au CSO (FNSP-CNRS)et Doctorante de Sociologie au CSO (Centre de sociologie des organisations,19, r. Amélie, 75007 Paris).

 

 

 

 

 

 

 

 

 

 

 

 

 

 

 

 

 


 
Professeur de Sociologie à l'Université de Provence(29, av. Robert-Schuman, 13621 Aix-en-Provence), Directeurde l'UMR EPS-CNRS, Université Nancy 2.

 

 

 

 

 

 

 

 

 

 

 

 

 

 

 

 

 


 
Maître de conférences de Droit public, Centre derecherches et d'études administratives de Montpellier (CREAM),Université Montpellier I.

 

 

 

 

 

 

 

 

 

 

 

 

 

 

 

 

 


 
Respectivement, Professeur de Sociologie à l'Universitéde Toulouse-Le Mirail et doctorante de Sociologie au Centred'Études et de Recherches, Techniques, Organisations, Pouvoirs(CERTOP), Université Toulouse-Le Mirail.

 

 

 

 

 

 

 

 

 

 

 

 

 

 

 

 

 


 
Maître de conférences en Sciences de l'informationet de la communication, Université Toulouse III, IUT, chercheurau LERASS (115, rte de Narbonne 31077 Toulouse cedex 4).

 

 

 

 

 

 

 

 

 

 

 

 

 

 

 

 

 


 
Maître de conférences en Sciences économiques,Université Paul Valéry-Montpellier (rte de Mende,34199 Montpellier cedex 5).
jean-yves.leroux@univ-montp3.fr

 

 

 

 

 

 

 

 

 

 

 

 

 

 

 

 

 


 
Respectivement, Professeur aux Facultés universitairescatholiques de Mons, (151, chaussée de Binche, B-7000 Mons,Belgique), directeur du GRESAS,
jean emile.charlier@fucam.ac.be
et Professeur à l'IHECS, chercheur au GRESAS (Groupe derecherche sociologie action sens),
frederic.moens@fucam.ac.be

 

 

 

 

 

 

 

 

 

 

 

 

 

 

 


 
Agent de recherche, Université du Québec (475, r. de l'Église,Québec, Canada G1K 9H7),
Jean_Bernatchez@uqss.uquebec.ca

 

 

 

 

 

 

 

 

 

 

 

 

 

 

 

 

 


 
Research Fellow, Research Centre on Skills, Knowledge and OrganisationalPerformance (skope), University of Oxford's Department of Economics(Manor Road Building, Manor Road, Oxford, OX1 3UQ, UK), and OxfordUniversity Lecturer, Balliol College.
cecile.deer@economics.ox.ac.uk

 

 

 

 

 

 

 

 

 

 

 

 


 
Professeur de Sciences de l'information et de la communication,chercheur au GRESEC, Université Stendhal-Grenoble 3 (BP 25,38040 Grenoble cedex 9).

 

 

 

 

 

 

 

 

 

 

 

 

 

 

 

 

 

 

 

 

 

 

 

 

 

 

 

 

 

 

 

 

 

 

 

 

 

 

 

 

 

 

 

 

 

 

 

 

 

 

 

 

 

 

 

 

 

 

Nous utiliserons leterme générique de « SIC » au-delàde sa stricte définition académique française.Pour le dire rapidement, dans une approche introductive, il s'agitd'un ensemble de points de vue théoriques sur des objetsayant une dimension de mise en relation de composantes distinctesde la société, ces objets étant saisis àtravers des approches concrètes, sinon empiriques, àpartir de problématiques transversales et selon des méthodologiesinterdisciplinaires. Sans privilégier un paradigme, cequi donne à ces points de vue une dimension communicationnellerelève de l'accent porté : 1°) sur la relationentre les éléments constitutifs de la totalité,au détriment de leur forme ou de leur substance ; 2°)sur les conditions de l'énonciation dans la relation sujet-sujet,médiatée par la technique ; 3°) sur les logiquesd'acteurs, d'usages et de réception inscrites dans un champsocial ; 4°) sur la compréhension de l'événementqui réalise la relation (le message, l'acte ou le processus),à partir d'un cadre de référence, qu'on l'appellemilieu culturel, forme symbolique ou encore structure (Lévi-Strauss,1962).

 

 

 

 

 

 

 

 

 

 

 

 

 

 

Foucault, devant l'échecde l'hypothèse d'une unité des énoncésconstituant les « discours sur la folie », proposede considérer la formation discursive, dans le cas où,à partir d'un certain nombre d'énoncés dispersés,il est possible de déceler entre des objets de discours,des conditions d'énonciation, des concepts et des choixthématiques une certaine régularité (53).

 

 

 

 

 

 

 

 

 

 

 

 

 

 
resup@lapsac.u-bordeaux.fr

 

 

 

 

 

 

 

 

 

 

 

 

 

 
En somme, face à une difficultéassez courante dans les structures en développement, fairepayer ces frais revenait à mettre à contributionles candidats à l'entrée de la composante pour financersa croissance.

 

 

 

 

 

 

 

 

 

 

 

 

 

 

 

 
L'option consistant à valoriserces activités d'encadrement et du tutorat offre incontestablementun indéniable avantage pour mobiliser les équipespédagogiques : la question est seulement de savoir quidoit payer son surcoût.

 

 

 

 

 

 

 

 

 

 

 

 

 

 

 

 
Ce taux de rendement pouvant êtreéventuellement corrigé pour tenir compte de l'hétérogénéitédes publics liée à l'impossibilité de lasélection à l'entrée de l'université.

 

 

 

 

 

 

 

 

 

 

 

 

 

 

 

 

 
L'association pour la qualitéde l'Université française proposait par exempleque l'élection du président d'université(par une assemblée offrant une plus grande représentationdes pairs que celle offerte aujourd'hui par la loi Savary) soit« confirmée par une nomination par décretsigné par le Président de la république »(Merlin, Schwartz, 1994).


 

 

 

 

 

 

 

 

 

 

 

 

 

 

 

 
Le rapport de transmission du savoirest consubstantiel d'une distance entre apprenant et précepteur.Mais la difficulté c'est que, dans les sociétésdémocratiques fondées sur les valeurs de liberté,d'égalité et de valorisation de l'individu et faisantune large place à une culture de négociation etde contrat, cette distance est de moins en moins admise car deplus en plus perçue ou vécue comme une forme dedomination.

 

 

 

 

 

 

 

 

 

 

 

 

 

 

 

 
C'est un phénomènebien connu : une formation a d'autant plus de chance d'êtreefficace en termes d'insertion professionnelle qu'elle maîtriseles flux d'entrée en qualité et en quantité.A tel point que l'on peut se demander si les sources de valeurajoutée d'une formation (et par extension d'une institution)ne résident pas tout autant dans sa capacité desélection que dans son ingénierie pédagogique,sachant que le signal qu'elle envoie à l'extérieuren disant qu'elle pratique une sélection à l'entréeconstitue d'emblée un préjugé favorable sursa qualité. De sorte que si une formation ou une institutionrecrute les candidats ayant les plus grandes aptitudes, les plusmotivés, voire les plus ambitieux, il lui « suffira» de préserver, dans le cursus, ces qualitésindividuelles qui seront tout aussi discriminantes au moment del'embauche.
En retour, cette dernière sera avancée comme preuvede l'efficacité du processus de formation et viendra conforterl'image de qualité et la communication. La boucle se fermesans que l'on sache vraiment en quoi résident, pour reprendrela terminologie du management, les facteurs-clés du succèsentre les activités principales (compétences, organisationpédagogiques) et les activités périphériques(communication, positionnement, rente de réseau ou de situation).

 

 

 

 

 

 

 

 

 

 

 

 

 

 

 
Une communication est dite paradoxalelorsque les deux niveaux sont en contradiction, l'exemple typeétant l'injonction d'autonomie puisque le contenu «soyez autonome » est contredit par la relation « c'estun ordre ». Lorsqu'une telle situation survient la communicationtourne au dialogue de sourd et il est courant de voir apparaîtredes comportements de retrait ou de résistance àl'autorité.